La Cour fédérale juge que le gouvernement canadien n’a pas l’obligation légale de dévoiler les détails de ses interventions diplomatiques en faveur d’une entreprise minière canadienne accusée de violation des droits de la personne au Guatemala.
Above Ground se joint à d’autres groupes de la société civile pour demander à la Bourse de croissance TSX de remettre les pendules à l’heure sur le forage pétrolier et gazier dans la région de l’Okavango.
La Cour fédérale du Canada entend aujourd’hui une affaire alléguant que le gouvernement canadien retient indûment des informations sur ses interventions diplomatiques en faveur d’une entreprise canadienne accusée de violations des droits de la personne à sa mine au Guatemala.
Huit requêtes contenant des allégations de violation des droits humains et de dégradation de l’environnement associées aux activités à l’étranger de compagnies extractives canadiennes ont été déposées auprès de tribunaux canadiens.
Ottawa / Amsterdam – Un mécanisme gouvernemental fondé en 2000 pour promouvoir la conduite responsable des multinationales s’avère incapable de remplir sa mission de prévention et d’accès à un recours efficace dans le cas de violations des droits de la personne perpétrées par des sociétés canadiennes opérant à l’étranger, d’après un rapport publié aujourd’hui par Above Ground, Mines Alerte Canada et OECD Watch.
Above Ground veille à ce que les entreprises basées au Canada ou soutenues par l’État canadien respectent les droits humains à travers le monde. Il s’agit d’un projet de MakeWay, une entité caritative nationale qui crée des partenariats visant à élaborer des solutions pour une évolution harmonieuse entre l’environnement naturel et les communautés.
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